Découvrez les sites fiables pour chercher du travail à distance

 

 

 

Il existe plusieurs sites fiables pour chercher du travail à distance. Voici quelques-uns des plus populaires : #remotejob #travailàdistance #freelance

 

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1. LinkedIn: En plus des offres d'emploi traditionnelles, LinkedIn propose des filtres pour les postes à distance. LinkedIn est un réseau social professionnel conçu pour aider les utilisateurs à se connecter avec d'autres professionnels, à rechercher des emplois, et à partager des informations sur leur carrière. Il est largement utilisé pour le recrutement, le développement de carrière, et le réseautage professionnel.

2. Upwork : Un site bien connu pour les freelances, avec des opportunités dans divers domaines.

3. FlexJobs : Spécialisé dans les emplois à distance et flexibles, bien qu'il y ait un abonnement pour accéder aux offres.

4. Remote.co : Un site dédié exclusivement aux emplois à distance.

5. We Work Remotely : Propose des offres d'emploi dans divers secteurs pour ceux qui cherchent à travailler à distance.

6. Indeed : Utilisez les filtres pour rechercher des emplois à distance spécifiquement.

7. Toptal : Connue pour les freelances hautement qualifiés dans les domaines du développement, du design, et de la gestion de projet.

8. AngelList : Pour les emplois à distance dans les startups.

9. SimplyHired : Permet de filtrer les recherches pour les opportunités de travail à distance.

10. Glassdoor : Recherche d'emplois avec des options pour filtrer par télétravail.

Ces plateformes offrent une bonne diversité d'options pour les emplois à distance dans différents domaines. Bonne chance pour votre recherche d'emploi

JO Paris 2024 – Bilan Africain: Entre satisfecit et déception

 

Après les 37 médailles, dont onze en or de Tokyo 2021, l’Afrique visait, a minima,

 50 médailles à Paris. Au final, le continent quitte ces JO avec 39 médailles dont 13 

en or, 12 en argent et 14 en bronze. Un résultat loin du compte. Mais l’Afrique peut 

tirer quelques motifs de satisfaction. 

 

Interrogé sur les chances du continent dès avant l’ouverture des JO, l’Algérien Mustapha 

Berraf (Président de l’ACNOA) avait énoncé ses attentes : une augmentation de près de 20%

 en termes de récompenses.

« Cela suppose une moyenne de 50 médailles » avait-il lâché, avant de répéter régulièrement 

auprès des médias. A l’heure du bilan, objectif non atteint. Mais l’Afrique fait mieux que Tokyo 

2020 et ses 37 médailles, dont 10 en or. 

Comme toujours, l’athlétisme reste la discipline dans laquelle les Africains ont raflé le plus

 grand nombre de médailles, principalement grâce au Kenya (11). 

Un peu moins en boxe, gymnastique artistique, rugby à 7, cyclisme ou escrime, même si ces

 compétitions ont généré des médailles.  Le football représente l’unique discipline collective 

dans laquelle une médaille a été remportée. L’Afrique aurait pu en glaner deux si le Maroc, 

médaillé de bronze ou l’Egypte (4e) s’étaient hissés en finale.  Plusieurs chances de médailles,

 considérées comme certaines, se sont en revanche évaporées. Pression du jour, adversité 

supérieure ou tout simplement blessure, ils n’ont pas validé ces promesses.

Ainsi, le triple-sauteur burkinabè Hugues Fabrice Zango, le taekwondoïste nigérien

 Abdoulrazak Issoufou Alfaga, la sprinteuse ivoirienne Marie-Josée Ta Lou, le Kenya Ferdinand

 Omanyala, deuxième meilleur performeur de l’année au 100m sont rentrés bredouille. 

Akpaki Deladem, président du CNO de Togo, estime que les raisons de ce recul africain en

 termes de médailles s’explique par « le niveau de plus en plus élevé des JO », tout en

 admettant qu’il Il y a « une marge de progression ». 

La fuite des athlètes africains vers d’autres cieux, notamment les pays du golfe peut être

 également une raison.  

 

                             NE PAS FORCEMENT VOIR LE VERRE A MOITIE VIDE

Ils n’ont pas accroché de médailles mais accompli des performances historiques. 

C’est justement le cas de l’équipe féminine de basket du Nigeria en quart de finale. 

Une première aux JO, toutes catégories confondues. 

 

De même, les débutants Sud-soudanais, pour leur premier tournoi olympique, ont titillé les

 Etats-Unis. Une élimination au premier tour, mais un succès historique de la plus jeune nation

 au monde face à Porto-Rico.

 

Parallèlement, le continent a explosé des records olympiques. Des exploits signés par le

 Botswanais Letsile Tebogo sur 200m (19''46), premier Africain sacré sur 200m, et le 

marathonien éthiopien Tamirat Tola (2h06'26"). Certains ont saisi l’occasion, bien qu’étant

éliminés, de battre des records nationaux ou continentaux. 

 La Malgache Rosina Randafiarison s’est offert trois records continentaux en haltérophilie

 (arraché, épaulé jeté et total olympiques). Cheikh Tidiane Diouf a fait tomber le record du

 Sénégal, vieux de 58 ans au 400m. 

 

« Mon objectif pour les Jo était de battre le record du Sénégal du 400 mètres. Je l’ai fait, 

même si je ne suis pas qualifié en finale » avait-il confié après son tour de piste.

Interrogé, le DTN-cyclisme du Burkina Faso Martin Sawadogo estime qu’il est temps qu’une  

vision à long terme éclaire l’ambition des nations africaines. 

« L’Afrique tâtonne et manque de planification dans beaucoup de sports » déplore-t-il, en

 précisant être déçu des multiples abandons africains lors de la course en ligne. 

Il propose à chaque pays de réorienter ses forces : « On ne peut pas être forts partout.

 Il y a les courses de résistance, de vitesse, les concours de sauts, les sports de mains et

 de combats.

 Il faut définir les disciplines qui peuvent nous faire gagner et mettre les moyens humains, 

financiers et matériels » a-t-il suggéré. Une vraie piste à creuser que celle de la programmation

. 

Dès lundi 12 août, lendemain de la clôture des JO, il faudra se projeter sur les prochains,

 en 2028 à Los Angeles, avec comme étape intermédiaire les JOJ de Dakar. 

Mais attention : les grandes nations s’y sont déjà attelées…

 

 

 

 

Kiady Arivony et Bernabé Kabré 

2424.Mg – Madagascar, Oméga Médias – Burkina Faso 

#PARISMEDIAS2024

JO de Paris 2024: l’Afrique veut passer le cap des 50 médailles

 

Cet article a été écrit par Nesta Yamgoto et publié initialement le 22 mai 2024 sur Tchadinfos.com – Tchad. Une version éditée est publiée sur le blog Info-Gasikara dans le cadre d'un accord de partenariat média avec #PARISMEDIAS2024.

 

 L’Afrique peine à franchir collectivement la barre de 50 médailles à chaque édition. A Paris, les représentants du continent espèrent bien effacer ce plafond. Décryptage.

A Paris, le continent africain, à travers la cinquantaine de pays présents, aligne un contingent de plus de 1 000 athlètes, toutes catégories confondues.

Même si rien n’est annoncé officiellement, l'objectif sera d’améliorer le bilan des médailles par rapport aux dernières participations.

 Entre Sydney 2000 et Tokyo 2021, les pays africains ont raflé collectivement 227 médailles, toutes catégories confondues.

La meilleure moisson a été réalisée lors des JO de Rio en 2016. Dans la mégapole brésilienne, les athlètes africains ont collecté 45 médailles dont 10 en or, pour 11 pays dans 11 sports.

Par contre, en 2000, 2004 et 2012, respectivement à Sydney, Athènes et Londres, l’Afrique est repartie à chaque fois avec 35 médailles.

La barre de 40 médailles a été atteinte pour la première fois par l’Afrique aux Jeux de 2008 à Pékin. Mais à Tokyo, la “Team Afrique” a vu son total chuté à 37 médailles.

Sur les 227 médailles remportées par l’Afrique lors des six dernières Olympiades, le continent est rentré avec 61 médailles en or.

A Paris, le continent parviendra-t-il à franchir le cap des 40 médailles toutes catégories confondues ?

À cette question, le président de l’Association des Comités Nationaux Olympiques d’Afrique (ACNOA), l’Algérien Mustapha Berraf, a répondu chez nos confrères de RFI :

« Nous pensons que nous avons les moyens humains et le potentiel pour réussir une augmentation de près de 20 %. Cela suppose une moyenne de 50 médailles. »

Selon lui, l’Afrique mise plus sur le taekwondo, la boxe, la gymnastique, la voile et le canoë-kayak. « Je pense honnêtement que nos athlètes africains seront là en tant que conquérants pour gagner.

J'ai dit aussi que nous étions fiers de nos athlètes africains, même s'ils concourent pour des pays européens ou américains. Nous sommes fiers de leurs origines », a-t-il conclu.
 

	Médailles	Or	Pays	Sports
JO 2021	37	11	13	8
J0 2016	45	10	11	11
J0 2012	35	12	10	7
J0 2008	40	13	13	7
J0 2004	35	9	9	6
J0 2000	35	10	8

JO 2024 - Natation! Eliminé, Jonathan Raharvela termine à la 7ème place de sa série

 

Pas de record pour Jonathan Raharvel. Premier malgache entré en lice aux JO,  le nageur du Club omnisports des forces armées (COSFA) a terminé septième de sa série avec un chrono éloigné de sa meilleure performance.

 

 

Malgré ses efforts et sa détermination, Jonathan Raharvel, premier nageur malgache en compétition aux Jeux Olympiques de Paris 2024, n’a pas réussi à améliorer son propre record lors de sa participation au 100 mètres brasse.. Le jeune nageur de 22 ans aligné sur 100m brasse a fini sa course avec un temps bien éloigné de son record national.

Placé dans le couloir 7 du bassin olympique de Paris la Défense Arena, le nageur du COSFA a terminé septième de sa série à 4.58 secondes du vainqueur, l'Islandais Anton McKee. 

A peine sorti du bassin olympique, le triple médaillé d’or aux Jeux des îles de l’océan Indien (JIOI) en 2023 évoquait un manque de préparation à l’origine de ce résultat. « Se préparer à Madagascar ne permet pas d’avoir de bonne performance » a réagi à chaud le nageur. 

Jonathan Raharvel est le seul des sept athlètes malgaches participant à ces Jeux à être resté à Madagascar pour s'entraîner. 

La piscine de Soavina, qui n’est pas une piscine olympique, et située dans l’Atrimondrano (partie est) de la capitale, ne lui a pas permis de bien se préparer. 

Malgré cette contre performance, Jonathan a nuancé sa déception : « C’est un bon résultat, vous connaissez tous la manière dont je me suis préparé » a-t-il ajouté.  « Mais il faut être dans de bonnes conditions de préparation pour avoir les résultats fixés » a-t-il conclu.

Un article de Kiady Arivony/ 2424.mg - Madagascar dans le cadre de la couverture médiatique #PARISMEDIAS2024

"Apprendre l'Anglais : Nos Nouveaux Manuels Disponibles"

 

Grande nouvelle! Mes tous nouveaux manuels d'anglais sont enfin disponibles .

 

Je suis ravie de vous annoncer la sortie de mes derniers ouvrages

 

Ma passion pour l'écriture est devenue toute une autre aventure. C'est une oeuvre qui me tient particulièrement à cœur et j'ai le grand plaisir de partager cette aventure avec vous 

 

 

Le premier manuel: "Hey, let's learn English Vocabulary!". Eh oui, pour apprendre la langue Anglaise, il faut commencer par l'apprentissage des vocabulaires. Un livre A4 de 100 pages. 

 

La deuxième: "Daily English Conversation". Un livre A5 de 80 pages.

 

 

La troisième: "Mastering English Grammar". Part 1: Verb tenses (les temps des verbes). Un livre A5 de 67 pages.

 

 

 

 

Ces manuels sont conçus pour aider les étudiants à apprendre la langue Anglaise de manière facile, pratique et compréhensible. Ils sont destinés aux étudiants débutants, intermédiaires, ou à un autre groupe spécifique souhaitant acquérir une base solide en langue anglaise.

Ces manuels ont ses caractéristiques spéciales, car ils contiennent des exercices pratiques, des illustrations pour les vocabulaires et des tableaux dans chaque chapitre.

Avec les explications en trilingue (Malgache, Français et Anglais), ils peuvent être utilisés en classe, ou en auto-apprentissage.

 

Alors, pour renforcer vos compétences en langue Anglaise, ces manuels sont incontournables . N'hésitez pas à me contacter.Ces manuels sont assi disponibles en format PDF.

Stay tuned! Je vous présenterai mes nouveaux livres très prochainement

Chine: L'éffondrement d’une autoroute fait au moins 48 morts et 30 blessés

Suite à un glissement de terrain qui a entraîné l'effondrement d'une portion d'autoroute, quarante-huit individus ont perdu la vie dans la province du Guangdong, dans le Sud de la Chine. Ce bilan est diffusé récemment par un média d'État l’agence officielle Chine Nouvelle. Les autorités associent cet événement aux pluies exceptionnellement intenses, qu'elles attribuent au changement climatique. Cette catastrophe semble être le résultat de précipitations abondantes.

 

Vue aérienne de la section d’autoroute emportée par un glissement de terrain lié à des pluies diluviennes, près de Meizhou, dans la province chinoise du Guangdong (Sud-Est), le 1ᵉʳ mai 2024. Photo: AP

 

Précipitation intenses

La province du Guangdong, située dans le sud-est de la Chine a connu des précipitations intenses depuis un mois, que les responsables chinois ont attribuées au changement climatique. Deux des quatre voies de la route se sont effondrées près de la ville de Meizhou, peu après 2 heures du matin le mercredi 1er mai, premier jour des congés de la fête du travail en Chine. A la suite d'un glissement de terrain qui a emporté une partie d'une autoroute, 48 personnes sont mortes et 30 personnes ont été blessées mais leur vie n’est pas menacée, selon la même source.

Le mois dernier, des pluies diluviennes sévissent dans la province du Guangdong, la plus densément peuplée de Chine, abritant 127 millions d'habitants. Ces précipitations torrentielles ont déclenché des inondations ayant causé la mort de quatre personnes et contraint plus de 100 000 habitants à évacuer la région. Pendant le mauvais temps, une tornade a fait cinq victimes en traversant Canton, la capitale provinciale. Cette région est également l'un des principaux moteurs économiques du pays, avec Canton comme capitale. Suite à la dégradation de la situation, la Chine a émis une alerte rouge de courte durée, le niveau de risque le plus élevé.

 Premier émetteur de gaz

La Chine, principal émetteur de gaz à effet de serre responsables du changement climatique, s'est engagée à atteindre la neutralité carbone d'ici 2060. Les autorités ont exhorté la population à organiser attentivement leurs déplacements pendant les vacances de mai, qui se poursuivent jusqu'à dimanche.

Yin Zhijie, responsable des prévisions hydrologiques au ministère chinois des ressources en eau, avait récemment mis en évidence que l'accentuation du changement climatique accroît la probabilité de fortes précipitations, habituellement observées pendant les mois estivaux.

NB: Le blog Info-Gasikara publie également les actualités internationales mais son principal focus reste Madagascar d'où le nom Info-Gasikara

 

 

 

Journée mondiale de la liberté de la presse 2024: Le journalisme dans le contexte de la crise environnementale mondiale actuelle.

Chaque année, le 3 mai est célébré comme la Journée mondiale de la liberté de la presse, une occasion de réfléchir sur l'importance fondamentale de la liberté d'expression et du journalisme dans nos sociétés. En 2024, cette journée revêt une signification particulière alors que les journalistes continuent de faire face à d’importants défis sans précédent lorsqu’ils recherchent et diffusent des informations sur des questions d’actualité.

 

 

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 Du 2 au 4 mai 2024, le Chili et l'UNESCO seront les hôtes de la Conférence internationale sur la liberté de la presse. Cet événement marquera le 30e anniversaire de sa première célébration en 1994 et commémorera l'adoption historique de la Déclaration de Santiago lors du "Séminaire sur le développement des médias et de la démocratie en Amérique latine et dans les Caraïbes" le 6 mai 1994.Cette déclaration a constitué un tournant majeur dans la promotion du droit à la liberté d'expression et de la presse, ainsi que dans la progression et la reconnaissance des médias communautaires, de l'indépendance et de la diversité des médias en Amérique latine et dans les Caraïbes. Cet événement offre une occasion propice pour revisiter Santiago et réaffirmer l'engagement de tous à promouvoir et à garantir la liberté d'expression à l'échelle mondiale.

Dans le contexte de la crise environnementale mondiale actuelle, le rôle du journalisme est plus crucial que jamais. Les défis environnementaux auxquels nous sommes confrontés, tels que le changement climatique, la perte de biodiversité, la déforestation, la pollution et la rareté des ressources naturelles, nécessitent une couverture médiatique sérieuse, approfondie et responsable.

Les médias jouent un rôle essentiel dans la sensibilisation du public aux enjeux environnementaux, en fournissant des informations factuelles, basées sur la science et vérifiées, sur les causes, les conséquences et les solutions possibles. Le journalisme environnemental met en lumière les histoires souvent complexes et interconnectées derrière les problèmes environnementaux, tout en donnant la parole à ceux qui sont directement affectés par ces défis, y compris les communautés locales, les scientifiques, les activistes et les décideurs politiques.

En outre, le journalisme environnemental joue un rôle crucial dans la surveillance des politiques environnementales et des actions des gouvernements, des entreprises et des institutions internationales. Les médias sont chargés de tenir les acteurs responsables de leurs engagements en matière de protection de l'environnement, de dénoncer les pratiques néfastes et de promouvoir la transparence et la responsabilité dans la gestion des ressources naturelles.

Cependant, le journalisme environnemental est confronté à de nombreux défis, notamment la désinformation, les pressions économiques et politiques, la censure, les menaces contre les journalistes et les difficultés techniques liées à la couverture de sujets complexes et en évolution rapide. Il est donc essentiel de soutenir et de protéger les journalistes environnementaux dans l'exercice de leur métier, en garantissant leur sécurité, leur indépendance et leur accès à l'information.

 

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En fin de compte, le journalisme environnemental est un outil puissant pour inspirer le changement, mobiliser l'action et promouvoir des solutions durables pour préserver notre planète pour les générations futures. Il est impératif que les médias continuent à jouer un rôle actif dans la lutte contre la crise environnementale mondiale, en informant, en éduquant et en mobilisant le public pour agir en faveur de la protection de notre environnement commun.

En cette Journée mondiale de la liberté de la presse, nous devons réaffirmer notre engagement envers la liberté d'expression et le journalisme indépendant. Nous devons défendre les droits des journalistes et soutenir les médias libres et pluralistes. Nous devons promouvoir l'accès à une information de qualité et lutter contre la désinformation et la censure.

Ensemble, nous pouvons œuvrer pour un monde où la liberté de la presse est respectée, où les journalistes peuvent exercer leur métier sans crainte ni entrave, et où chaque individu a la possibilité de s'informer et de s'exprimer librement. C'est un objectif noble et essentiel pour le bien-être de nos sociétés et pour la préservation de nos valeurs démocratiques.

En cette Journée mondiale de la liberté de la presse, engageons-nous à protéger ce droit fondamental et à soutenir ceux qui se battent pour une presse libre et indépendante dans le monde entier.