En cette période de transition interminable dans notre pays
(Madagascar), je voudrais partager ma vision sur la situation
politique actuelle, qui ces derniers temps s’est rapidement accélérée avec la mise en place des institutions et structures
du régime en place.
Cupidité oblige
Depuis la crise, des nouvelles personnalités politiques ont
fait leur apparition, des entités politiques différentes se sont également manifestées, les unes nouvellement formées, et les autres non vues depuis
longtemps se sont montrées, et cela semble t-il dans l’intention d’apporter leur
contribution dans la résolution de la crise actuelle.
Ils étaient si déterminés à
signer la feuille de route, mais est-ce vraiment pour contribuer à la dénouement de
la crise, ou tout simplement pour avoir un part de gâteau car la cupidité est trop fort? Hé bien ! Vue la
circonstance déplorable actuelle, difficile d’affirmer que ces politiciens sont
animés par le moindre patriotisme.
Pas seulement la longue période qu’il aurait
fallu dans la résolution de la crise en témoigne, mais aussi la nomination du Premier Ministre de consensus
n’a pas eu l’unanimité étant donnée que celui-ci est issu d’une plate-forme
soutenant le PHAT, sans parler de la formation du gouvernement qui ne reflète pas du tout l’inclusivité exigée par la feuille de route et récemment la composition
des membres au sein des 2 assemblées (Congrès de la Transition et Conseil Supérieur de la Transition) qui ne sont qu’une affaire de famille.
La division et la fissuration
des parties politique ne sont plus étonnantes, cela ne traduit qu’une course aux sièges. Je ne cite plus le
traffic des bois de rose, et les autres magouilles de
toutes sortes. L’intérêt superieur de la nation n’est plus que vaine
expression !!
Même pas un brin d’espoir
en dépit de la feuille de route signée par les
11 entités politiques le 17 septembre 2011, une étape qui devrait mèner vers des
élections. Mais malheuresement, à mon humble avis, le processus de mise
en œuvre de la FDR connaît toujours des manquements en raison du défaut d’ équilibre
numérique dans la formation des membres dans les institutions du régime.
Retour de l’ex-président Ratsiraka
Depuis le retour de l’Amiral Ratsiraka dans son pays natal,
sa rentrée a été marquée par les gestes qu’il a démontrés, son bisou au sol et
ses trentaines de pompes au troisième âge en plus de la chanson qu’il a fredonné! Ces
gestes ont alimenté des polémiques, tout un chacun a leur propre interprétation
quand à la signification de ses attitudes. Et même dernièrement, le PHAT Andry
Rajoelina n’a pas mâché ses mots en critiquant amèrement les comportements de
l’Amiral, alors que celui-là également est très connu par son atermoiement.
Bon
nombre de politiciens, comme la mouvance Ravalomanana et Zafy Albert ne trouvent
aucun problème à la solution avancée par Didier Ratsiraka qu'est la conférence au sommet , c'est quand même
faisable et fiable vu les expériences de ce dernier.
De toute façon, avec l’âge avancé de l’Amiral, il serait judicieux qu’il
demeure en tant que Ray aman-dreny retraité politiquement et apporte tout
simplement sa contribution dans la résolution de la crise, son ambition de
briguer encore la magistrature suprême me paraît ridicule même s’il a encore
des supporteurs avec lui.
Retour de Marc Ravalomanana
L’intention du président déchu Marc Ravalomanana de revenir dans son pays natal a également alimenté
des sujets de conversation. Pourquoi ne pas lui autoriser de rejoindre son pays
alors que l’article 20 dans la feuille de route en prévoit? Personnellement, si on veut
vraiment se débarrasser de la crise intermittente, son retour est une condition
sine qua non qui accélère l’acquisition de la reconnaissance.
Plusieurs étapes ont été franchies dans la résoulution de la
crise qui a trop perduré, seule la feuille de route signée par les 10 entités
politique le 17 septembre 2011 à Antaninarenina a pu rassembler les forces
politiques mais sa mise en œuvre reste toujours flou et sujet à débat. Le non-respect du concensus et inclusivité en est la raison principale. Qui est vraiment donc la
source de blocage ? Pourquoi empêcher Marc Ravalomanana de rentrer au
pays ? Ou est l’apaisement politique indispensable dans l’application
de la feuille de route. N’allait surtout pas penser vous les leaders politiques que « on peut prendre le pouvoir dans la rue et par la
force et par la suite, en acquérir une légitimation à l’issue d’un processus de
négociation tronqué ».!!
Pour terminer, comme nous sommes en période de fête, il serait mieux de laisser de côté maintenant la politique, on a presque assez de ces politiciens mesquins avec leurs mauvaises pratiques. Tous ce que je souhaite, que cette crise étendue prenne fin pour que la population malgache puisse vivre dans la paix et la sérénité.
En cette période de transition interminable dans notre pays
(Madagascar), je voudrais partager ma vision sur la situation
politique actuelle, qui ces derniers temps s’est rapidement accélérée avec la mise en place des institutions et structures
du régime en place.
Cupidité oblige
Depuis la crise, des nouvelles personnalités politiques ont
fait leur apparition, des entités politiques différentes se sont également manifestées, les unes nouvellement formées, et les autres non vues depuis
longtemps se sont montrées, et cela semble t-il dans l’intention d’apporter leur
contribution dans la résolution de la crise actuelle.
Ils étaient si déterminés à
signer la feuille de route, mais est-ce vraiment pour contribuer à la dénouement de
la crise, ou tout simplement pour avoir un part de gâteau car la cupidité est trop fort? Hé bien ! Vue la
circonstance déplorable actuelle, difficile d’affirmer que ces politiciens sont
animés par le moindre patriotisme.
Pas seulement la longue période qu’il aurait
fallu dans la résolution de la crise en témoigne, mais aussi la nomination du Premier Ministre de consensus
n’a pas eu l’unanimité étant donnée que celui-ci est issu d’une plate-forme
soutenant le PHAT, sans parler de la formation du gouvernement qui ne reflète pas du tout l’inclusivité exigée par la feuille de route et récemment la composition
des membres au sein des 2 assemblées (Congrès de la Transition et Conseil Supérieur de la Transition) qui ne sont qu’une affaire de famille.
La division et la fissuration
des parties politique ne sont plus étonnantes, cela ne traduit qu’une course aux sièges. Je ne cite plus le
traffic des bois de rose, et les autres magouilles de
toutes sortes. L’intérêt superieur de la nation n’est plus que vaine
expression !!
Même pas un brin d’espoir
en dépit de la feuille de route signée par les
11 entités politiques le 17 septembre 2011, une étape qui devrait mèner vers des
élections. Mais malheuresement, à mon humble avis, le processus de mise
en œuvre de la FDR connaît toujours des manquements en raison du défaut d’ équilibre
numérique dans la formation des membres dans les institutions du régime.
Retour de l’ex-président Ratsiraka
Depuis le retour de l’Amiral Ratsiraka dans son pays natal,
sa rentrée a été marquée par les gestes qu’il a démontrés, son bisou au sol et
ses trentaines de pompes au troisième âge en plus de la chanson qu’il a fredonné! Ces
gestes ont alimenté des polémiques, tout un chacun a leur propre interprétation
quand à la signification de ses attitudes. Et même dernièrement, le PHAT Andry
Rajoelina n’a pas mâché ses mots en critiquant amèrement les comportements de
l’Amiral, alors que celui-là également est très connu par son atermoiement.
Bon
nombre de politiciens, comme la mouvance Ravalomanana et Zafy Albert ne trouvent
aucun problème à la solution avancée par Didier Ratsiraka qu'est la conférence au sommet , c'est quand même
faisable et fiable vu les expériences de ce dernier.
De toute façon, avec l’âge avancé de l’Amiral, il serait judicieux qu’il
demeure en tant que Ray aman-dreny retraité politiquement et apporte tout
simplement sa contribution dans la résolution de la crise, son ambition de
briguer encore la magistrature suprême me paraît ridicule même s’il a encore
des supporteurs avec lui.
Retour de Marc Ravalomanana
L’intention du président déchu Marc Ravalomanana de revenir dans son pays natal a également alimenté
des sujets de conversation. Pourquoi ne pas lui autoriser de rejoindre son pays
alors que l’article 20 dans la feuille de route en prévoit? Personnellement, si on veut
vraiment se débarrasser de la crise intermittente, son retour est une condition
sine qua non qui accélère l’acquisition de la reconnaissance.
Plusieurs étapes ont été franchies dans la résoulution de la
crise qui a trop perduré, seule la feuille de route signée par les 10 entités
politique le 17 septembre 2011 à Antaninarenina a pu rassembler les forces
politiques mais sa mise en œuvre reste toujours flou et sujet à débat. Le non-respect du concensus et inclusivité en est la raison principale. Qui est vraiment donc la
source de blocage ? Pourquoi empêcher Marc Ravalomanana de rentrer au
pays ? Ou est l’apaisement politique indispensable dans l’application
de la feuille de route. N’allait surtout pas penser vous les leaders politiques que « on peut prendre le pouvoir dans la rue et par la
force et par la suite, en acquérir une légitimation à l’issue d’un processus de
négociation tronqué ».!!
Pour terminer, comme nous sommes en période de fête, il serait mieux de laisser de côté maintenant la politique, on a presque assez de ces politiciens mesquins avec leurs mauvaises pratiques. Tous ce que je souhaite, que cette crise étendue prenne fin pour que la population malgache puisse vivre dans la paix et la sérénité.
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